On ne devient pas Johnny Hallyday. On le porte. À fleur de peau, à vif, au poignet. Depuis les années 60 jusqu’à son dernier souffle, le rocker national a toujours arboré ses bracelets comme on exhibe ses cicatrices : sans honte, sans filtre, avec panache. Un amas de cuir, d’argent, de chaînes, parfois de croix ou de têtes de mort — symboles d’une masculinité rugueuse, tatouée au feu de la scène et des histoires d’amour brûlées.
Nous suivre